Organes: Cerveau,Lymphomes non hodgkinien
Bristol Myers Squibb (BMS) MAJ Il y a 4 ans

Étude CA209-647 : étude de phase 2 visant à évaluer l’efficacité du nivolumab chez des patients ayant un lymphome primitif du système nerveux central récurrent ou réfractaire ou un lymphome primitif testiculaire récurrent ou réfractaire. [essai clos aux inclusions] Le lymphome primitif du système nerveux central et le lymphome primitif testiculaire sont deux types de lymphomes non hodgkiniens extraganglionnaires rares connus pour être agressifs. En cas de récidive ou de pathologie réfractaire, les options de traitement sont encore limitées. Certaines cellules cancéreuses ont la capacité d’échapper aux défenses immunitaires qui protègent l’organisme. Les immunothérapies constituent un développement majeur dans la lutte contre le cancer, car elles sont capables de stimuler et de mobiliser le système immunitaire du patient contre le cancer. Le nivolumab est une nouvelle immunothérapie anti-PD-1 qui bloque la tolérance du système immunitaire à la présence de cellules tumorales. L’objectif de cette étude est d’évaluer l’efficacité du nivolumab chez des patients ayant un lymphome primitif du système nerveux central récurrent ou réfractaire ou un lymphome primitif testiculaire récurrent ou réfractaire. Les patients recevront du nivolumab par voie intraveineuse (IV) toutes les 2 semaines pendant 8 cures ou jusqu’à progression de la maladie ou intolérance au traitement. Ensuite, les patients pourront continuer à recevoir du nivolumab en IV toutes les 4 semaines jusqu’à 2 ans maximum ou jusqu’à progression de la maladie ou intolérance au traitement. Les patients ayant un lymphome primitif du système nerveux central seront suivis tous les 2 mois pendant 2 ans, puis tous les 6 mois jusqu’à progression de la maladie. Les patients ayant un lymphome primitif testiculaire seront suivis tous les 2 mois pendant 6 mois, puis tous les 3 mois pendant 18 mois, puis tous les 6 mois jusqu’à progression de la maladie.

Essai clos aux inclusions
UNICANCER MAJ Il y a 4 ans
Essai clos aux inclusions
UNICANCER MAJ Il y a 6 ans
Essai ouvert aux inclusions

Étude ONCOPRO : étude évaluant la valeur prédictive de la progastrine lors du diagnostic et sa cinétique pendant le traitement chez des patients ayant un cancer. Les cancers résultent d'un dysfonctionnement au niveau de certaines cellules de l'organisme. Celles-ci se mettent à se multiplier de manière anarchique et à proliférer, d'abord localement, puis dans le tissu avoisinant, puis à distance où elles forment des métastases. Le traitement du cancer est adapté en fonction de chaque situation. Le choix d'un traitement ou d'une combinaison de traitements dépend de plusieurs facteurs, le type de cancer, le degré d'extension du cancer, la présence d'éventuelles autres maladies, l'âge de la personne, l'état général de la personne. Il existe différents traitements du cancer, la chirurgie, la radiothérapie, la chimiothérapie, l’hormonothérapie, l’immunothérapie et les thérapies ciblées, ils peuvent être utilisés seuls ou associés entre eux. La progastrine est une protéine produite par certaines cellules de l’estomac, qui la transforme en gastrine, une hormone indispensable à la digestion. Lorsqu’il y a une tumeur, la progastrine est sécrétée par les cellules tumorales et devient détectable dans le sang. Elle favorise la survie et le développement des cellules souches cancéreuses à l’origine de la tumeur. La progastrine devient donc un marqueur diagnostique et prédictif de choix pour le suivi de l’efficacité des thérapies mises en oeuvre. L’objectif de cette étude est d’évaluer la valeur prédictive de la progastrine lors du diagnostic et sa cinétique pendant le traitement chez des patients ayant un cancer. Un prélèvement sanguin sera réalisé, pour le dosage de la progastrine par méthode ELISA. Un prélèvement supplémentaire sera effectué afin de mesurer des marqueurs tumoraux spécifiques aux différents types de cancer. Les prélèvements seront réalisés tous les 6 mois ou toutes les 3 semaines pour les patients traités par chimiothérapie et tous les 6 mois pour les patients en suivi. Les patients seront suivis pour une durée maximale de 5 ans après le début de l’étude en l’absence de progression de la maladie.

Essai ouvert aux inclusions

Etude iLOC : étude de phase 2 évaluant l’efficacité de l’ibrutinib chez des patients en rechute ou réfractaire d’un Lymphome Primitif du Système Nerveux Central (LPSNC) ou d’un Lymphome Intra Oculaire (LIO). [essai clos aux inclusions] Le lymphome est un cancer du système lymphatique. Il existe 2 principaux types de lymphomes : le lymphome non hodgkinien (LNH) et le lymphome hodgkinien (LH). Les lymphomes atteignent en général les ganglions lymphatiques. Dans de rares cas, le LNH se développe exclusivement dans le système nerveux central qui comprend le cerveau, l’oeil, les méninges et la moelle épinière. On parle alors de lymphome primitif du système nerveux central ou de lymphome intraoculaire. L’objectif de cette étude est d’étudier l’efficacité de l’ibrutinib chez des patients en rechute ou réfractaire atteints d’un lymphome primitif du système nerveux central ou d’un lymphome intraoculaire. Tous les patients recevront de l’ibrutinib par voie orale, une fois par jour, tous les 28 jours jusqu’à 12 cures, soit pendant 1 an. Les examens cliniques et les analyses biologiques seront effectués avant l’administration du médicament, avant chaque cure de traitement, et jusqu’à trente jours après la dernière administration du traitement. L’examen du liquide céphalo-rachidien (LCR) et l’examen ophtalmologique seront répétés s’ils étaient anormaux au début du traitement. Après la 1ère cure de traitement, un bilan sanguin sera réalisé toutes les semaines. La réponse au traitement sera évaluée après les 4éme, 6éme, 9éme et 12éme cures avec un examen radiologique cérébrale par imagerie à résonnance magnétique (IRM) pour le lymphome cérébral ou un examen ophtalmologique pour le lymphome intraoculaire. Les patients seront surveillés pendant un an après l’arrêt du traitement.

Essai clos aux inclusions

PRECIS 01 : Essai de phase 2 randomisé évaluant l'intérêt de la radiothérapie ou de la chimiothérapie intensive, après une chimiothérapie d'induction, en premier traitement chez des patients ayant un lymphome cérébral. [essai clos aux inclusions] L’objectif de cet essai est d’évaluer l’efficacité d’une radiothérapie encéphalique et l’efficacité d’une chimiothérapie intensive associée à une autogreffe de cellules souches périphériques, en traitement faisant suite à une chimiothérapie d’induction, chez des patients ayant un lymphome cérébral. Les patients seront répartis de façon aléatoire en 2 groupes de traitement. Les patients des deux groupes recevront en premier lieu une même chimiothérapie d’induction constituée de 2 cures d’une chimiothérapie de type R-MBVP suivies de 2 cures d’une chimiothérapie de type R-Ara-C. L’ensemble des traitements durera 14 semaines. Entre un mois et six semaines après la fin de la chimiothérapie d’induction, les patients poursuivront les traitements selon le groupe assigné. Les patients du premier groupe auront une radiothérapie encéphalique, à raison de 5 séances par semaine pendant 4 semaines. Les patients du deuxième groupe recevront une chimiothérapie intensive comprenant notamment une perfusion de thiotépa pendant 3 jours, puis 10 perfusions de busulfan (toutes les 6 heures du 4ème au 6ème jour), puis une perfusion de cyclophosphamide pendant 2 jours. Les patients de ce groupe auront également un support au traitement à travers une autogreffe de cellules souches périphériques. Ces cellules auront été prélevées au cours de la première phase de chimiothérapie d’induction et seront réinjectées à l’issue du traitement de chimiothérapie intensive (au 10ème jour). A l'issue des traitements, d’une durée totale de 5 mois, les patients seront suivis dans le cadre de cet essai tous les 3 mois pendant 2 ans. Les patients pourront également participer à la constitution d’une sérothèque et d’une lymphotèque destinées à la réalisation d’études biologiques sur échantillons sanguins, de moelle osseuse et de liquide céphalo-rachidien. De même, ils pourront aussi participer à une étude de génomique (sur ADN) visant à rechercher des facteurs génétiques de susceptibilité aux traitements, à partir de prélèvements sanguin et salivaire.

Essai clos aux inclusions
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Bristol Myers Squibb (BMS) MAJ Il y a 5 ans

Étude CA209-647 : étude de phase 2 visant à évaluer l’efficacité du nivolumab chez des patients ayant un lymphome primitif du système nerveux central récurrent ou réfractaire ou un lymphome primitif testiculaire récurrent ou réfractaire. Le lymphome primitif du système nerveux central et le lymphome primitif testiculaire sont deux types de lymphomes non hodgkiniens extraganglionnaires rares connus pour être agressifs. En cas de récidive ou de pathologie réfractaire, les options de traitement sont encore limitées. Certaines cellules cancéreuses ont la capacité d’échapper aux défenses immunitaires qui protègent l’organisme. Les immunothérapies constituent un développement majeur dans la lutte contre le cancer, car elles sont capables de stimuler et de mobiliser le système immunitaire du patient contre le cancer. Le nivolumab est une nouvelle immunothérapie anti-PD-1 qui bloque la tolérance du système immunitaire à la présence de cellules tumorales. L’objectif de cette étude est d’évaluer l’efficacité du nivolumab chez des patients ayant un lymphome primitif du système nerveux central récurrent ou réfractaire ou un lymphome primitif testiculaire récurrent ou réfractaire. Les patients recevront du nivolumab par voie intraveineuse (IV) toutes les 2 semaines pendant 8 cures ou jusqu’à progression de la maladie ou intolérance au traitement. Ensuite, les patients pourront continuer à recevoir du nivolumab en IV toutes les 4 semaines jusqu’à 2 ans maximum ou jusqu’à progression de la maladie ou intolérance au traitement. Les patients ayant un lymphome primitif du système nerveux central seront suivis tous les 2 mois pendant 2 ans, puis tous les 6 mois jusqu’à progression de la maladie. Les patients ayant un lymphome primitif testiculaire seront suivis tous les 2 mois pendant 6 mois, puis tous les 3 mois pendant 18 mois, puis tous les 6 mois jusqu’à progression de la maladie.

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